Synopsis (wiki) : Teppei et Kotaro sont deux frères orphelins. Kotaro, l'aîné, est doté d'une intelligence incroyable. Un jour il décide de partir parfaire son instruction à Berlin, laissant seul son frère sur leur île natale. Peu de temps après Teppei encore enfant rencontre une femme blessée du nom de Karen. Elle est arrivée sur l'île pour se réfugier car elle était poursuivie par la Mechanicae Imperium. Teppei va l'aider à échapper à ses poursuivants. Karen voudra le laisser seul mourant, mais elle l'aidera et l'entraînera pour qu'il soit plus fort. Des années plus tard Teppei et Kotaro se retrouveront. Malheureusement ce bonheur ne sera que de courte durée car Kotaro se fera enlever par la Mechanicae Imperium, une organisation aspirant à dominer le monde grâce à une armée de B't (robots mi-mécanique mi-biologique). Teppei va alors tout faire pour sauver son frère, notamment à l'aide de X, un B't légendaire revenu à la vie grâce au sang de Teppei et à l'aide des trois autres B't légendaires.
Masami
Kurumada est un mangaka connu pour avoir été l'auteur de Saint Seiya,
autrement dit, les chevaliers du Zodiac, dont l'adaptation animée avait
rythmé notre jeunesse. Il y aurait beaucoup à dire, notamment pour le
côté Yayoi de l'animé etc...Mais cela ne sera pas le sujet de cette
brève.
Ayant un peu de temps à meubler, j'ai visionné, parfois en accéléré, l'adaptation animée de BT'X, adapté du manga éponyme.
Bien
moins drôle ou tendancieux que Saint Seiya, BT'X en conserve quelques
similitudes : d'un côté un graphisme similaire (des héros en armures
montant des robots ressemblant à des créatures parfois mythologiques) et
des péripéties simplistes dans le genre shônen - nekketsu : une épreuve, un boss à abattre, un truc à apprendre...
Non
dénué de qualités, il surprendra peut-être même les amateurs de
Kurumada (dont je ne fais pas partie) : un scénario qui emprunte à
l'héroïc fantasy classique avec une menace cataclysmique qui nous pend
au nez et que les personnages n'avaient pas vu venir... Kurumada est
bien inspiré quand il emprunte à Leiji Matsumoto ses interrogations sur
l'immortalité (et la place qui reste à notre humanité dans un corps
mécanique).
Le seul espoir ? Un garçon un peu idiot mais bouillonnant qui possède la cosmo énergie,
euh non, un morceau de soleil en lui (cherchez pas, il y a sans doute
une dimension prophétique à tout cela mais il y a peu d'explications :
le back ground est assez peu esquissé). Ce garçon décidera de voyager en ligne droite et "poutrer" tous ses ennemis pour atteindre la forteresse noir et sauver son frère (les héros de Kurumada n'ont jamais de temps à perdre avec les raisonnements tactiques).
Au-delà de tout ça, une bonne bande sonore, épique, composée par Akira Senju.
Au final, on passe un bon moment à rigoler (un peu moins qu'avec Saint Seiya quand même) avec quelques bonnes idées de technofantasy.
Au final, on passe un bon moment à rigoler (un peu moins qu'avec Saint Seiya quand même) avec quelques bonnes idées de technofantasy.
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